Pieds des tours nuages

La SEMNA, la ville de Nanterre, Altarea Cogedim et Histoire et Patrimoine ont confié à LAMT une mission d’architecte-urbaniste en vue de l’élaboration des cahiers de prescriptions des pieds des tours nuages amenés à accueillir des équipements destinés à enrichir la programmation du site.

Avoir dessiner

En 2018, à Cadaquès, un arbre dessine grâce à un procédé (installation) simplissime. Plus encore que la production, magnifique, c’est ce que ce possible implique qui promet d’inépuisables réflexions.

Tour industrielle

LAMT est chargée d’une mission d’AMO étendue à la collaboration et la coconception avec les porteurs des process industriels de l’îlot Charles III

Îlot Guimier

LAMT a été chargé d’étudier la faisabilité de 55 logements collectifs en lisière du site des tours nuages

Prix de l’innovation urbaine

Le quartier du Parc Sud à Nanterre a reçu le prix de l’innovation urbaine 2021, catégorie Innovation programmatique et fonctionnelle.

Maison des Habitants, Nanterre

La Maison des Habitants du Parc Sud de Nanterre, au pied d’une des tours d’Emile Aillaud, a été livrée en décembre 2020

Réflexion sur la place de l’industrie en GOSB

L’agence LAMT et les Ateliers Monique Labbé forment l’une des 4 équipes retenues par l’agglomération du Grand Orly Seine Bièvre pour mener une réflexion sur la ré-industrialisation de ce territoire à fort potentiel

Rémire – Montjoly, en Guyane française

LAMT est architecte-urbaniste du quartier de la Route des Plages à Rémire – Montjoly. Il s’agit dans ce projet de développer une forme urbaine qui soit en même temps un dialogue inspiré entre la montagne et le fleuve. 500 à 700 logements collectifs, intermédiaires et individuels sont prévus.

Monaco Îlot Charles III – Esquisse

La mission de l’agence LAMT en 2017-2018 a consisté en une faisabilité architecturale, urbaine et technique grandes mailles, en vue d’établir dans l’îlot Charles III un pôle de services urbains et un quartier d’affaires

Tours Nuages à Nanterre

LAMT poursuit son travail de conception urbaine et architecturale pour le compte d’Altarea Cogedim, en dialogue étroit avec la Ville de Nanterre, ses habitants et associations, et la SEMNA.

NPNRU des quartiers Kervénanec Nord et Bois du Château à Lorient

L’équipe constituée d’AIA, Phytolab, Ville en Oeuvre, Trait Clair et LAMT a été missionnée pour les études urbaines ANRU Bois-du-Château et Kervénanec nord à Lorient. 

Ces études visent à définir les projets de rénovation urbaine de ces deux quartiers d’habitat social de Lorient dans le cadre du NPNRU.

Projet de renouvellement urbain sur les Hauts de Rouen

Les Hauts de Rouen, conçus dans les années 1950 à 1970, s’étendent sur plus de 3 kilomètres de long. La mission en cours est la première depuis l’époque de la création du grand ensemble à reposer globalement la question de son dialogue avec le territoire et le grand site dans lequel il est inséré.

Tours quartier Maryse Bastié

Le quartier de Maryse Bastié à Tours est en situation à la fois centrale et périphérique : entièrement contenu dans le périmètre communal de la ville de Tours, ce quartier a son rôle à jouer dans la connexion des tissus de la ville centre et de ceux de la commune de La Riche immédiatement à l’ouest, ainsi que dans l’organisation des continuités urbaines entre le quartier des Casernes au nord, et son environnement. Or ce quartier ne se vit pas, aujourd’hui, comme potentiellement intégré à ce point à son environnement urbain. Fruit de l’histoire de la constitution des tissus de ce secteur de la ville, il se vit même comme enclavé.

Projet urbain du site de la Beaujoire à Nantes

Le projet envisage la construction d’un nouveau stade de football de 40 000 places, accompagnée de la réalisation d’un quartier de logements, activité, commerces, équipements.

Un parc de plusieurs hectares vient ouvrir le site aux populations de tout le secteur nord de Nantes.

L’opération, d’ampleur métropolitaine, vient affirmer la présence forte de la ville dans un tissu de faubourgs pour l’instant peu structuré, et vise la reconquête des abords de la rocade de Nantes.

Proche du Parc des Expositions, mais aussi en lien direct avec le Parc Floral, le site n’est plus le site exclusif du Stade, mais un véritable lieu de vie, de loisirs, de travail… connecté aux transports déjà présents, organisant les mobilités à une large échelle, dialoguant avec ce secteur exceptionnel de l’Erdre au moment où le cours d’eau entre dans la ville centre.

Falaise de Villerville

La falaise de Villerville, qui sert de promontoire à l’ensemble du bourg, recule d’années en années en raison de défauts structurels qui appellent un travail géotechnique de fond pour préserver les habitations du front de mer et les espaces publics les plus exposés.

La mission a consisté pour commencer à réaliser le complément de diagnostic de la falaise, tant du point-de-vue géotechnique qu’architectural, urbain et paysager. La question de l’eau et des réseaux s’est posée également, de même que celle des usages et des mobilités.

Maîtrise d’oeuvre urbaine de l’Île Seguin

L’Île Seguin est la dernière île en date à être aménagée aux portes de Paris, sur la commune de Boulougne-Billancourt, dans la continuité des opérations du Trapèze et du quartier du Pont de Sèvres. Pensée comme une pièce urbaine exceptionnelle, elle a réclamé une approche et une conception exceptionnelles.

Centre hospitalier de La Rochelle

Le site de l’Hôpital de la Rochelle est un site de cœur de ville. Il est situé à l’intérieur du périmètre historique des fortifications. À quelques dizaines de mètres à peine à l’ouest, les rues commerçantes animées du centre sont visibles depuis les portes du centre hospitalier.

À l’étroit dans sa parcelle qui n’offre que peu de possibilités pour une opération de restructuration et de modernisation, l’équipement doit réfléchir à une échelle territoriale à la possibilité de son redéploiement. Cela implique pour le centre-ville l’opportunité d’une mutation urbaine de grande ampleur, partielle ou totale sur 7 hectares.

Etudes préopérationnelles en vue de l’insertion urbaine de l’A480 à Grenoble

L’A480 est en puissance une autoroute urbaine à Grenoble. Elle fait partie, pour le meilleur et pour le pire de son système urbain, marque le paysage de la vallée et des rives du Drac, mais aujourd’hui, le dialogue avec la ville est médiocre. La perspective de nouveaux investissements et d’une rénovation de l’infrastructure rendent possible d’améliorer ce dialogue tant sur le plan architectural, urbain et paysager, que sur celui des mobilités et des transports…

Transport par câble à Toulouse

La mission confiée a consisté en la préparation de la consultation en vue du CREM du premier téléphérique de l’agglomération toulousaine. Le volet architecture, urbanisme, paysage, a été élaboré en interface avec les autres approches (techniques, systèmes, transports, économie de la construction, réglementaire). Le dossier de consultation résultant a ainsi été alimenté par une charte architecturale, urbaine et paysagère, contenant les préconisations et orientations issues des recherches menées par l’équipe. 

Evry – Porte sud du Grand Paris

Le territoire qui s’étend, en Essonne, de la base aérienne de Brétigny-sur-Orge à la Seine, des zones d’activité du Val d’Orge sur la Francilienne à Corbeil-Essonne, Evry et Ris Orangis, connaîtront demain, comme secteur métropolitain à fort enjeu de développement à l’échelle de l’Île de France, une évolution très importante. Les projets locaux sont nombreux, et commencent à être fédérés par l’action de Grand Paris Aménagement et ses partenaires institutionnels et privés.

Maîtrise d’oeuvre urbaine du quartier Gare de Lyon Daumesnil

La mutation de ce site à vocation industrielle et logistique en plein coeur de Paris, au beau milieu d’un des noeuds de transport les plus puissants de la capitale répond à plusieurs enjeux croisés que le projet doit concilier : il s’agit de maintenir et même moderniser l’avitaillement dont le bâtiment occupe le coeur du site, de préserver un patrimoine bâti tout en l’engageant dans une mutation fonctionnelle radicale, de composer avec les réservations foncières nécessaires à la création à terme d’une voie supplémentaire sur le faisceau ferroviaire, et de construire un quartier de ville de grande qualité doté d’un parc de près de 4 hectares. 

Projet de l’Avenue du Parisis, infrastructure urbaine et projet territorial

L’idée de créer un axe de déplacement entre le Bourget et la Vallée de Montmorency est relativement ancienne. Dans ses premières formulations, elle remonte au moins aux années 1950. Ce besoin de transversalité routière à quelques kilomètres au nord de Paris est réel, l’absence d’axe fort et structurant d’est en ouest sur une étendue de plus de 10 kilomètres, un handicap sérieux pour le fonctionnement du territoire. 

Ligne Nouvelle Montpellier – Perpignan

Un projet de ligne LGV sur 150 kilomètres est un projet de transport et d’infrastructure d’envergure régionale, voire nationale. Pour cette raison, elle s’inscrit, questionne, transforme, une vision de l’aménagement du territoire traversé. A cette échelle, les territoires doivent tous être approchés dans leurs identités ou spécificités propres, les enjeux réels de développement des agglomérations regardés avec vigilance, les milieux naturels sensibles et paysages compris avec suffisamment d’attention pour ne tomber ni dans une logique de conservation systématique, ni une négation des impacts importants que les terrassements notamment auront selon les séquences sur les sites…

Zone d’activité de Ladoux à Clermont-Ferrand

La Zone d’Activité de Ladoux, située au nord de Clermont-Ferrand, est le site historique de l’entreprise Michelin. Quoique vaste, cette zone, disposant de réserves d’extension relativement importantes (250 hectares au total), risque de subir rapidement une forme d’engorgement si un schéma directeur spatial (urbain, paysager, économique) ne vient pas organiser sa croissance. 

Concours du Rond Point de Rive à Genève

La place de Rive peut-être considérée comme une porte d’entrée majeure par l’est de la ville de Genève. Située en contrebas de la ville historique, encore à une distance de plus de 100 mètres du Lac, elle est un noeud de transport important de l’agglomération, mais accueille aussi des commerces, un marché hebdomadaire. La ville et le canton ont pris la décision en 2015 de lancer un concours international en vue de la requalification de cette place et des espaces publics adjacents, visant à donner plus de place aux piétons et modes actifs, et à redistribuer les arrêts de transport en commun sur le secteur. 

Projet urbain du Fort d’Aubervilliers

Le projet urbain du Fort d’Aubervilliers s’inscrit dans un contexte intercommunal. Il s’agit de concevoir une pièce urbaine adossée au cimetière de Pantin, en site occupé, dans une logique à la fois de prise en compte de ce qui est (le Fort d’Aubervilliers, de nombreux jardins familiaux, un environnement urbain fait de plusieurs grands ensembles dont les Courtillières), mais transformant suffisamment l’environnement pour produire une réelle transformation urbaine, et faire de ce site, perçu initialement comme enclavé et soumis aux nuisances des infrastructures routières, un quartier habité, travaillé, un environnement de grande qualité, accueillant un noeud de transport puissant à l’horizon de l’arrivée d’une nouvelle gare du Grand Paris Express en interconnexion avec la gare du M7 existante et la gare routière (à reconfigurer).

Gare du Grand Paris Express à Villejuif – Louis Aragon

La gare du Grand Paris Express de Villejuif – Louis Aragon fait partie d’un ensemble de plus de 10 stations du GPE que le département Ville et Territoires d’Ingerop dirigé par Jean Lamort a été chargée de concevoir en phases d’études préalables et préliminaires, avec l’aide de l’équipe de Bernard Reichen (co-traitante sur ces sujets).

Maîtrise d’oeuvre urbaine de Campus Grand Parc (Villejuif IGR)

Le projet urbain de Campus Grand Parc prend sa place autour de l’Institut Gustave Roussy, premier centre européen de recherche et de traitement du cancer, et de la future gare du Grand Paris Express de l’IGR qui interconnectera la ligne 14 prolongée et la ligne 15 en cours de réalisation.

Equisse de reconfiguration du Pont de Sèvres

La mission a mêlé, à la demande du CD92, un faisceau de questions thématiques qui entrent de manière indispensable dans une stratégie de reconquête urbaine de la tête du Pont de Sèvres : l’arrivée d’une station de la ligne 15 du Grand Paris Express tout d’abord, pousse ville de Boulogne, Communauté d’Agglomération et CD92 à repenser complètement l’interconnexion gare routière – métro L9 et futur métro L15 au pont de Sèvres. Parallèlement, l’enjeu d’insertion urbaine du pôle d’échange du Pont de Sèvres implique une refonte de l’espace public, et du système d’échange routier actuel. Enfin, intégrer ce noeud de déplacement dans la ville ne peut se limiter à une refonte géométrique de l’espace, la question de la programmation à terme de ce site est stratégique : pour participer, accompagner, compléter, les développements très importants qui s’opèrent sur l’Île Seguin, le quartier du Pont de Sèvres, celui du Trapèze, …, des hypothèses multiples de développement du site du Pont de Sèvres sont possibles, depuis l’accueil d’une place – jardin en superposition de la gare routière remaniée, jusqu’à des développements immobiliers plus ou moins ambitieux…

Etude urbaine au pont de Clichy

Le projet urbain du pont de Clichy peut à de nombreux égards être considéré comme un projet de rénovation urbaine, du moins il en a la complexité. Dans un secteur immédiatement dans la continuité du centre-ville de Clichy, il est dans une situation d’enclavement relatif du fait de la présence de la coupure induite par une route départementale (RD1) qui prive la ville de réel déboucher sur les berges du fleuve. L’ouvrage de franchissement de la ligne 13 du métro renforce ce sentiment de coupure, de même que la structure des derniers tissus, résidentiels et administratifs, tournant le dos à l’axe routier. 

Entrée de ville de Corbeil-Essonne

La mission d’étude et de projet urbain a été lancée à l’horizon de l’arrivée de la ligne TZEN programmée par le STIF sur le territoire. L’enjeu majeur motivant cette mission a été le constat que malgré la présence de nombreux équipements, activités, quartiers habités (dont le quartier des Tarterets en renouvellement urbain), commerces, etc., en bordure de cet axe, il constituait avant tout une coupure urbaine contrariant les volontés et besoins d’usages, la participation de ce secteur de Corbeil-Essonne à la vie de la commune, …

Maîtrise d’oeuvre urbaine de Paris-Bercy-Charenton

Le site de Paris – Bercy – Charenton est aux dires même de Richard Rogers (RSH-P mandataire de la mission), littéralement « impossible »… Il s’agit aujourd’hui en effet de tout sauf un espace urbain. Une fracture urbaine entre la Seine et le Bois de Vincennes, entre Paris 12ème et Charenton-le-Pont. Pourtant, l’équipe a élaboré un projet réaliste et pragmatique, ambitieux voire superlatif dans son approche du site, sa proposition de proposer une véritable révolution pour ce secteur et d’en faire à terme un véritable morceau de ville, apte à continuer Paris et Charenton l’une vers l’autre, à accueillir logements, activités, équipements et même services urbains dans une forme originale qui repose la question des grandes hauteurs à l’entrée est de la capitale.

Esquisse d’une passerelle en gare RER de Pantin

Les flux de voyageurs à l’heure de pointe, devenus très importants et amenés à s’accroître à l’horizon des futurs développements urbains du secteur de la gare de Pantin, et du renforcement du réseau de transports en commun, ont rendu nécessaire l’étude d’une seconde passerelle piétonne en gare RER de Pantin, pour donner un second accès aux quais et éviter au maximum les engorgements des quais en station.

Schéma de référence de la RN20

L’enjeu pour le territoire des 17 communes limitrophes de la RN20 sur cette section est considérable : le foncier disponible permet d’envisager des développements urbains pendant les 30 prochaines années, mais la forme ou les formes urbaines qui résulteront de ces développement peuvent être vertueuses et économes, et contribuer à produire des espaces urbains de qualité, mixtes, équitables, …, ou aboutir à une simple consommation de l’espace de reste sous forme d’un étalement urbain qui sera très difficile à corriger si l’ensemble du territoire n’entre pas dès à présent dans une logique de schéma directeur et de planification sur le moyen et long terme.